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Publié par Frédéric Baillette

    Vers la fin du XVIe siècle, le jeu du volant apparaît sur une gravure intitulée « Au bilboquet, & autres jeux ». Une estampe habituellement attribuée à l’imprimeur et graveur Guillaume Lebé, ou Le Bé (1524-1598). Une erreur récurrente, selon Thierry Depaulis (président de l’association Le Vieux papier ) [1], pour qui cette image aurait été initialement publiée par le Maître imprimeur d’histoires et imagier Nicolas Prévost, dans un recueil « consacré à la mise en images des jeux de l’époque », intitulé Les Trente six figures contenant tous les jeux, qui se purent jamais inventer et représenter par les enfants tant garçons que filles, depuis le berceau jusqu'à l'âge viril (voir titre complet sous la première illustration).
    Un album « considéré comme perdu à jamais », récemment retrouvé, « miraculeusement conservé dans une bibliothèque américaine, la Morgan Library & Museum de New York » [2]. Une édition princeps, Avec Privilège du Roi, qui « date à coup sûr de 1589 » (et non de 1587, comme régulièrement indiqué pour dater l'image figurant le jeu du volant), à laquelle Pierre Parlebas (sociologue, historien du jeu) et Thierry Depaulis ont consacré, en 2017, un ouvrage où sont reproduites l’intégralité des 36 estampes de l’album original, totalisant pas moins de 114 jeux [3] (certaines en proposant jusqu’à 5).
    Cette «farandole de divertissements pris sur le vif et dessinés avec un talent qui restitue la vie en pleine action motrice», conduit Pierre Parlebas à considérer ce recueil « comme une fenêtre ouverte sur les divertissements du XVIe siècle » [4].

    Chaque illustration, « ornementée d’un large encadrement savamment chantourné », est accompagnée d’une « légende », « en forme de petit poème, constitué de deux tercets de décasyllabes placés côte à côte » [5], des sizains principalement descriptifs.

« Au bilboquet, & autres jeux », Gravure imprimée par Nicolas Prévost, 1598,
in Les Trente six figures, contenant tous les jeux, qui se purent jamais inventer et représenter par les enfants
tant garçons que filles, depuis le berceau jusqu’à l’âge viril, avec les amples significations des dites figures,
mises au pied de chacune d’elles, en vers français, le tout nouvellement mis en lumière et dirigé par ordre.


     La structure de l’image, rappelle celle des Emblemata ou « emblèmes moraux » forts appréciés aux XVIe et XVIIe siècles (se reporter, sur ce même blog, à « Une “emblématique” partie de volant »).

    La cartouche soutenant l’image contient une mise en garde adressée aux « novices», qui doivent se méfier de tomber entre les mains « de quelque fin valet », ces filous, ces bonneteurs [6] , qui profiteraient de leur ingénue naïveté pour les entourlouper, leur soutirer quelques écus ou « dépouiller [ces] imbéciles » [7]. Les jeux faisaient souvent l’objet de paris, donnaient l’occasion de mettre en jeu quelques piécettes ou des mises conséquentes.

« Ayant désir de tromper un novice
Qui tombe ès mains de quelque fin valet

Au bilboquet, ils prennent exercice,
Quant au vollant avecques le pallet,
Ou à la plotte avecques la raquette,
Ce sont les jeux où chacun d’eux s’arreste ! »

    Mais cet avertissement concerne-t-il uniquement le « bilboquet » (le jeu de « la quille à abattre »), ou l’ensemble des trois jeux présentés, des jeux où « où chacun d’eux s’arreste» ? C’est du moins ce que pensait, en 1905, un journaliste du journal L’Auto qui citait l’intégralité de ces vers en conclusion d’un article consacré au « Volant » des demoiselles, en les introduisant ainsi : « Du reste, fillettes, qui l’eût cru ? fillette qui l’eût dit ? Ce jeu si simple que vous jouez si innocemment fut un des premiers jeux exploités par les tricheurs pour voler les ignorants, les gogos ou les imbéciles. » [8]
 

Une version postérieure à illustration originale illustre, l'ouvrage publié en 1904 par
Henry-René d’Allemagne : Sport et Jeux d’adresse (p. 119). Elle est accompagnée de ce commentaire :
« Au seizième siècle, on a également donné le nom de “bilboquet” à une sorte de jeu de quilles ;
pour gagner, il s’agissait de renverser le but avec un palet ;
ce jeu était loin d’être innocent et servait aux bonneteurs du temps à dépouiller les passants naïfs.
»

À noter que 19 copies de ces Figures, éditées « sans doute au XVIIe siècle, après 1623 » [9],
sont conservées au Cabinet des estampes de la Bibliothèque Nationale de France.


Des jeunes-gens issus des classes aisées
   
Dans toutes « ces saynètes animées[…] véritables tableaux vivants où les acteurs sont saisis sur le vif», le dessinateur a, selon Pierre Parlebas, rendu les scènes imagées les plus réalistes possible, en s’appliquant à « rester le plus fidèle possible aux caractéristiques des joueurs (vêtements, gestuelle…) et aux données du contexte matériel et social de l’époque (lieux de pratique, objets utilisés, modes de lien social…) » [10].
    Si, au premier plan, le jeu dit du « bilboquet » paraît impliquer un adulte observant le lancer du palet (sans doute le « vallet » dont il convient de se méfier), le « vollant avecques [avec] le pallet» [11] et la « pelotte avecques la raquette» concernent des garçonnets ou des pré-adolescents, coiffés d’une toque à petits bords, des imberbes engagés dans des activités plus dynamiques.
    Sur cette représentation, les acteurs du jeu paraissent tous concentrés. Indiquant que le jeu était d’importance pour ces garçons qui semblent bien courts sur pattes, quelque peu râblés, pas encore formés… (à la différence des corps athlétiques, solidement élancés, des « hommes » disputant une partie de courte paume, figurée plus loin).

    Le jeu du « vollant », a fortiori celui de la « plotte », deux jeux utilisant des raquettes (les premières en bois plein, des « battoirs », les secondes avec un cordage, comme celles utilisées au jeu de paume), ne semblent pas être, ici, être des pratiques ludomotrices concernant les dames, ni les jeunes filles, encore moins les fillettes.
    Dans le « florilège ludique », dans la « guirlande de jeux », que propose cette collection de Figures, « les filles s’adonnent de préférence à des rondes et à des jeux tranquilles ».

    Au vu de leurs vêtements, les jouvenceaux qui s’exercent semblent appartenir « à une couche sociale favorisée, sans doute à la bourgeoisie aisée, ce que confirment leurs costumes de bon faiseur, à la mode de l’époque ; pourpoints ajustés à col montant, hauts de chausses “en melon”, fausses manches flottantes, toques et chapeaux, jupes, collerette s » [12].
    Trois personnages portent des « culots […], ce haut-de-chausses très court qui s'arrête au niveau du fessier, le “cul” (en vogue sous Henri III) » [13].

    La représentation d’enfants de la haute société ne veut pas nécessairement dire que ces jeux étaient seulement pratiqués dans un milieu social favorisé. Si les joueurs figurés sont uniquement issus d’une élite sociale, c’est que ces 36 estampes « sont destinées à être achetées ; elles doivent donc plaire, répondre aux attentes, être comprises et acceptées » [14].
    En 1886, dans un article intitulé « Les jeux enfantins au seizième siècle », Henri Bouchot (conservateur au cabinet des estampes de la Bibliothèque Nationale), présentera la douzaine des « curieuses gravures » dont il a pu disposer, comme « une série de planches populaires » [15] (l’une des deux images retenues pour illustrer son texte est, là aussi, celle du « Bilboquet, paume et autres jeux »).

    Ces gravures imprimées et vendues à l’unité ne visaient pas qu’une catégorie aisée, mais un large public, avec peut-être comme objectif d’orienter l’éducation des enfants vers des jeux convenables, pour « passer le temps joieusement » (comme écrit sous le titre de l’album conservé à la bibliothèque de New York) [16] :

« Si tu veux contenter ton esprit & tes yeux
A comprendre & à voir maintes choses nouvelles,
Je te suppli' (lecteur) épluche, curieux,
Tous les traits de ce livre en ses figures belles.
Tu verras mille jeux sortis folatrement
Du cerveau des enfans des l'aage d'innocence,
Quand il veulent passer le temps joieusement,
Il n'est invention que de la verte enfance.
»

 

    S'amuser certes, mais en adoptant des exercices du corps développant une habileté, une tournure. « Les jeux de Prévost, observe Pierre Parlebas, valorisent un affrontement corporel qui sollicite l’adresse, et une adresse instrumentée plutôt à distance qu’au corps-à-corps. Il y faut du style plus que de la brutalité. À côté du résultat, la “manière” commence à compter ; l’exigence du style va s’imposer. » [17]

    Même si elle présente certainement des lacunes, des oublis (ou des mises à l’écart d’amusements jugés trop violents ou inconvenants), cette mise en image a le mérite d’offrir un catalogue des divertissements « les plus en usages » chez les enfants et les jeunes gens du XVIe siècle ou, plus certainement, des distractions et exercices les plus préconisés pour l’éducation corporelle d’enfants de milieux sociaux privilégiés, mais pas que…
    Cette ludothèque propose ainsi une palette d’occupations actives pour différents âges, de l’enfance à l’âge d'homme (deux gravures mettent en scène des « hommes » mûrs, dans des pratiques qui relèvent de la chasse, de joutes nautiques et de courte paume). Ce faisant, elle met l’accent sur l’importance d’une éducation corporelle dans le développement des robustesses masculines, trouvant dans les plaisirs des jeux, notamment ceux d’adresse, une source de motivation amplifiée.

    « Cette série d’estampes populaires, note Antonelle Fenech Kroke,organise les jeux en fonction des âges[…]. Si l’on y tient les jeux de la petite enfance comme nécessaires pour éveiller les tout-petits, lorsque l’on s’attarde sur les jeux d’exercice liés à un âge plus avancé, le graveur figure des enfants pris dans les mouvements et la gestuelle ludiques des quilles, du volant, de la longue et de la courte paume, de la balle, du tir à l’arc, ou encore du cerceau. Malgré leur pauvreté, certains vers mettent l’accent sur l’adresse corporelle, la vigueur, le “merveilleux effort” produit par l’exercice et insistent sur la question de l’échauffement nécessaire à l’activité physique de la jeunesse. »
    En brossant un panorama des jeux enfantins, pratiqués et assurément préconisés, cette série de Trente-six figures, poursuit Antonelle Fenech Kroke, rend « compte en filigrane des politiques éducatives et de la fonction sanitaire du sport à la fin du XVIe siècle » [18].

    Outre de témoigner de la pratique du jeu du volant chez les adolescents « de la classe montante de la bourgeoisie aisée » [19] , ce « ludorama » (Pierre Parlebas) souligne l’intérêt, tout particulier porté aux jeux de raquettes dans la culture ludique de la Renaissance. Ceux-ci apparaissent, en effet, à quatre reprises. Outre le jeu du volant et celui de la « balle au tamis », deux autres figures y font référence :
    - Sur la première, deux solides pré-adolescents frappent avec des palettes de bois dans un « balle », en l’envoyant sur un petit toit incliné, où, selon Pierre Parlebas, sur une sorte de « auvent ». Aussi désigne-t-il ce jeu sous le nom de « paume sur auvent » [20] . Comme noté en légende de cette Figure, « ceux cy (gaillars) jouent à boutte hors, dessur ce toit ». Le but du jeu consistait, très certainement, à renvoyer la balle à tour de rôle sur cet « auvent ». Le joueur qui n’y parvenait pas cédait sa place à un autre joueur (celui placé à l’extrême gauche de l’image, qui ne semble pas impliqué dans cet échange). Le perdant était était alors (temporairement) bouté hors du jeu... ?
 

« Sans espargner l'adresse de leur corps,
Ceux cy (gaillars) jouent à boutte hors,
Dessur ce toit. Aultres, aux dames jouent..
Aultres qui font d'ingénieux cerceau,
A qui mieux, saultent dans le cerceau,
Et ce plaisir merveilleusement louent.
»


    Ces jeunes gens, qui ont des allures d’étudiants, utilisent-ils le mobilier urbain, où de tels « auvents » étaient-ils spécifiquement prévus pour jouer à « boutte hors » ?
    Un passe-temps qui peut être considéré comme une variante ou une adaptation urbaine du jeu de courte paume, où le joueur qui servait devait, selon « les lois du service » envoyer la balle sur « le toit de la galerie » (sous laquelle se rassemblaient les spectateurs), de telle manière qu’elle y roule « ou du moins frappe dessus avant de tomber dans le Jeu » [21] .

    - La seconde Figure, qui conclut le recueil des Trente-six figures, représente une partie de courte paume, disputée dans un « tripot » (« mot qui désigne originellement l’enclos spécialement aménagé pour [sa] pratique ») [22] . Ce « premier des aultres jeux permis » (c’est-à-dire celui qui est, alors, le plus en vogue et pratiqué « en toutes provinces »), « le vray jeux des Seigneurs & des Princes » (comme mentionné dans la cartouche de la Figure), met en scène deux athlétiques compétiteurs, grands et bien proportionnés. Des jeunes hommes vigoureux, à la virilité tonique, musculeuse et aux visages anguleux, déterminés. Les champions, face à face dressés, sont engagés dans une « partie asprement débattue ». Des échanges peut être commentés par les deux aînés, barbus, qui n’utilisent plus leurs raquettes que pour se protéger des balles perdues…

« Le jeu de Paulme est en toutes provinces,
Dit le vray jeu des Seigneurs & des Princes,
Et le premier des aultres jeux permis.
Là se peult veoir (quand chacun s'évertue)
Mainte partie asprement debattue,
Par bien jouer, meme entre les amis.»

 

    Le recueil des Trente six figures semble indiquer que les jeux du volant, de la balle au tamis et du « boutte hors », jeux sollicitant une dextérité, mais aussi une courtoise, une urbanité, étaient, au XVIe siècle, à la fois pratiqués à l'adolescence par les garçons et recommandés pour leur développement corporel, comme préparation à l'art de la paume, « divertissement par excellence des milieux urbains aisés et cultivés, l'exercice de la noblesse » [23] , un divertissement sportif réservé à « l'âge viril ».

Petit prolongement iconographique
    Dans la conclusion de son chapitre où il s'interroge sur le concepteur de ces estampes, Thierry Depaulis pense que leur éditeur, Nicolas Prévost, n'en est pas l'unique auteur, même s'il en est le graveur (faute de signature ou de monogramme apparaissant sur ces images). La première illustration du recueil, intitulée « Comme s'apaisent les petis enfans », présentant de « troublantes » similitudes avec « un beau dessin [...] récemment attribué à Baptiste Pellerin », titré Enfance, Thierry Depaulis pense que Nicolas Prévost aurait pu s'inspirer des travaux de cet artiste qui « n'était pas insensible au thème des jeux » [24] .
    Dans le recueil publié en 1595 : Les Figures & portraicts des sept aages de l'homme (consultable sur Gallica-BnF), où sont rassemblés nombre de travaux de Baptiste Pellerin, le 2ème tableau, qui a pour titre La puérélité, représente dans sa partie droite de très jeunes garçons, des écoliers, se récréant en jouant à divers jeux populaires (notamment « La main chaude » ou  « Frappe main » et « Le pet en gueule »). Au premier plan, quelques jouets, momentanément délaissés, jonchent le sol : toupie (ou sabot), crosses, ainsi qu'une raquette et un volant (toujours aussi fuselé). Sur le milieu du côté droit, un gamin, plus calme, jongle en faisant rebondir un volant sur sa raquette (des raquettes, en bois plein ou possédant un tamis, que l'on retrouve dans les garnitures du cadre entourant l'image) !
    Le jeu du volant apparaît encore ici comme un divertissement enfantin, intéressant les garçons...

« La puérélité », Baptiste Pellerin, Les Figures & portraicts des sept aages de l'homme, 1595


Détails : enfant jonglant avec un volant, raquette et volant au sol, bouquet de raquettes  :

 


[1] Selon Thierry Depaulis, la confusion proviendrait d’un article publié en 1847 dans le Magasin Pittoresque un des magazines culturels “grand public” parmi les plus excitants du moment», Depaulis, p. 113), qui y fait pour la première fois mention et attribue à Guillaume Le Bé la paternité de son édition, indiquant comme date de publication 1587, au lieu de 1589 (cf. pp. 67-70). Cet article fit « ensuite autorité et a été abondamment repris par la plupart des auteurs » (Parlebas, p. 20).
Cf. Thierry Depaulis, « Les Trente-six figures contenant tous les jeux (1589) : un trésor découvert », in Pierre Parlebas et Thierry Depaulis, Jeux et culture à la Renaissance. L’album de Nicolas Prévost, Paris, L’Harmattan, 2017, pp. 109-145.
[2] Ibidem, p. 20.
[3] Pierre Parlebas et Thierry Depaulis, Jeux et culture à la Renaissance. L’album de Nicolas Prévost, Paris, L’Harmattan, 2017.
[4] Ibidem, p. 16 et 15.
[5] Ibidem, p. 23.
[6] En ancien français, un bonneteur était un joueur de bonneteau (jeu de « hasard » et d’argent, proposé à la sauvette par des charlatans), et par extension un filou, un dupeur, un escroc patenté. Le terme dériverait de bonneter, « au sens de prodiguer des coups de bonnet surtout par intérêt ».
[7] « Sous Charles IX […] le “bilboquet”, c’était alors une quille placée à terre et que l’on reversait avec un palet ; ce jeu, dit Bouchot, servait surtout aux bonneteurs du temps pour dépouiller les imbéciles », in La Médecine Internationale Illustrée, n° 8, août 1907, p. 615.
[8] Lovely Rogue (un pseudonyme pouvant se traduire par Belle voleuse), « Notes et souvenirs. Le Volant », L’Auto, 21 avril 1905, p. 1.
[9] Pierre Parlebas, op. cit., p. 21.
[10] Ibidem, p. 23 et p. 4.
[11] En ancien français, « avec », se prononçait « avecque » (ce qui arrive encore de nos jours), et les lettres u et v n’étaient pas encore nettement différenciées. « Au XVIe siècle, notre alphabet, hérité de l’alphabet latin, ne faisait pas de différence entre la lettre U et la lettre V, ou plutôt U et V n’étaient que deux apparences d’une seule et même lettre. Le V pouvait représenter la version majuscule de la lettre que l’on écrivait U en minuscule, ou bien on utilisait l’une ou l’autre selon sa place dans le mot, le V étant employé en début de mot, le U au milieu. » CF. Muriel Gilbert, « Orthographe : quand le U et le V n’étaient qu’une seule lettre de l’alphabet ».
[12] Pierre Parlebas, op. cit., p. 29.
[13] Voir sur du même auteur en prolongement du précédent article : « Culottes – XVIIème siècle ».
[14] Pierre Parlebas, op. cit., p. 87.
[15] H. Bouchot, « Les jeux enfantins au seizième siècle », Le Magasin Pittoresque, 1886, pp. 219-221. [16] Page reproduite dans Pierre Parlebas, op. cit., p. 24.
[17] Ibidem, p. 61.
[18] Antonelle Fenech Kroke, « Culture visuelle du jeu sportif dans la première modernité », Perspective, 1 / 2018, pp. 109-128.
[19] Pierre Parlebas, op. cit, p. 29.
[20] Aussi Pierre Parlebas désigne-t-il ce jeu sous le nom de « paume sur auvent », op. cit., p. 130.
[21] François-Alexandre-Pierre de Garsault, Art du paumier-raquetier et de la paume, Paris, Chez Saillant et Desaint, 1767, p. 23.
[22] Cf. Guy Bonhomme, De la paume au tennis, collection « Découvertes Galimard », n° 112, Paris, Gallimard, 1991, p. 20.
[23] Ibidem, p. 13.
[24] Thierry Depaulis, op. cit., p. 140.

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